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murmure d'oublie

murmure d'oublie
  • Pourquoi écrire me semble être un besoin viscérale que je ne peux stopper. Je suis à la recherche d'une réponse. A la recherche d'une vérité caché. Je veux donner un sens à ce murmure que j'entend au loin...
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24 décembre 2009

Were is the serenity?

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Nous sommes le réveillon de Noël et je viens de passer une des journées les plus horribles de ma vie. Le doute s'installe. C'est le chaos dans mon esprit, la discorde dans mon coeur. Je ne veux plus pensée. Je ne veux plus réfléchir. Tout ce que je souhaite c'est la paix. Et la sérénité...

Alors je me demande:

Où c'est enfuit ma sérénité?

Le cœur lourd de reproche

Je regarde mon monde se disloquer

La pierre sur l’eau sans fin ricoche

Sur ces plaies que je ne peux refermer

Alors que mon âme un peu plus s’écorche

Sur ces rocs où mes pieds nues ne font que glisser

Où la paix c’est elle enfuie

La sérénité n’a plus de prit

Alors que toute les nuits sa venu je supplie

Qui encore est a l’écoute de mes cris

Et mes larmes s’écoulent sans fin

Sur le sang qui recouvre mes mains

Sur les brèches que je ne peux effacer

Alors que je ne suis maintenant qu’une marionnette inanimée

Je reste sans vie sous ce ciel chargé de pluie

Je reste là, lourde sous la couche de suie

Qui recouvre mes sentiments brisée

Où, oui où est ma passée sérénité ?

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18 décembre 2009

Au fil de nos sentiments

Le temps s'écoulent, gouttes aprés gouttes, ils filent le long de cette rivière parfois calme, parfois tumultueuse. Les saisons défilent. La neigent prend place sur le sol endormie et recouvre le monde de son manteau froid. Bientôt la pluie la fêra disparaitre et un peu plus tard sur cet herbe redevenu verte, des fleurs multicolores naitrons ici et là comme née l'espoir dans le coeur des hommes. Et moi je continuerais ma route, j'avancerais, silencieuse ou bavarde. En pleurant ou en riant. Nos sentiments sont comme les saisons, ils défilent et nous apporte joie, peine, exaltation ou désespoire. Mais là n'est pas l'important car ils vont et viennent et rien ne restera figée. C'est peut-être ça qui fait la beauté de la vie. C'est peut-être ça qui nourrit nos espoirs et nos rêve...

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1 décembre 2009

Amour impossible

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(Cette image me fait invariablement pensée à un amour impossible, comme celui de Jace et Clary dans la cité des Ténèbres, que faire lorsque l'on découvre avec horreur que l'on ne pourra jamais être avec celui qu'on aime...)

Les sentiments sont une choses étrange que l'on ne contrôle pas. C'est la conclusion à laquelle je suis arrivé à la fin du livre que je viens de lire. On a beau savoir que l'on ne doit pas, on ne peut faire autrement car un sentiment profond est quasiment invinsible, même s'il ne peut que nous faire du mal. Et encore, là je ne parle que d'une histoire fictive dont j'attend la suite, il y a donc encore une chance que les choses finissent bien (même si pour le moment ça me parait mal barré...) mais dans la réalité j'ai l'impression que les histoires d'amour qui finissent bien sont aussi rare que de l'eau dans un désert aride...

On ne contrôle pas ces sentiments. Parfois ils ne devraient pas être et parfois on ne comprend pas pourquoi ils ne viennent pas. L'amour est comme un ordinateur trés compliqué dont on aurait perdu le mode d'emplois. D'ailleur, y a-t-il jamais eu un mode d'emplois?! Par exemple on peut rencontrer un garçon gentil dont on sait qu'il est intéréssé par vous mais on ne peut que se tourner vers des gens qui ne nous font que du mal. Les choses sont mal fait. Parfois cela parait tellement simple d'être heureux et pourtant on court toujours aprés sans jamais réussir à l'atteindre...

"L'amour a ses raisons que la raison ignore", ce proverbe me parait soudain d'une justesse incroyable. Des fois j'aimerais être dans un livre: au moins les gentils gagnent à la fin et les histoires d'amour se finissent généralement en happy end...

Mais dans la réalité les happy end sont aussi fragile que du cristal... Après tout nous sommes tous prédestiné à disparaitre...

La fin est déjà écrit.

30 novembre 2009

au fil de la plume

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Au fil de la plume... Les mots s'étalent, parfois comme un tache de lumière sur nos coeur. Parfois comme une tache de sang suintant de blessure qui ne peuvent se refermer. L'écriture est un échappatoire. Un recueil de papier et d'encre pour nos pensées et nos rêves. Et sans ces mots je crois que je serais morte depuis longtemps. Il y a les mots que l'on écrit, il y a ceux que l'on li. Il y a nos histoires, celle qui germe dans notre tête et dont rapidement nous connaissons tout les méambres et rêvons de faire partager au autre comme si ainsi une partie de notre esprit pouvait toucher la conscience collective comme les esprits de nos auteurs préféré nous touche. L'écriture est un art et il me touche. Parfois plus que les aléas de ma vie elle-même. Quand je lis un livre, c'est comme quand j'écris. Je me jette à corps perdu dans ces mots, quitte à me perdre. Et quand viennent les dernières phrases, j'ai souvent l'impression d'avoir été baloté par une mer agité et rejeté sans douceur sur un récif. Et alors, vient l'attente. L'attente parfois vaine et sans fin pour que vienne de nouvelles phrase, pour que ces personnages vivents encore un peu dans de nouvelles pages. Je ne veux pas que toute ces histoires prennent fin. Je ne veux pas ranger tout ses personnages fictif dans ma bibliothèque car ils sont trop vivant. Trop présent.

Et moi, au fil de ma plume, je créé mes propres personnages. Eux aussi vivent. Ils vivent en moi comme un second coeur dans ma poitrine. Mon sang est comme de l'encre et mes larmes sont parfois les leur... L'écriture est comme une seconde vie. Et sans elle, la première deviendrais cendre dans ma bouche comme si je me laissais engloutir dans le néant.

Alors, je ne veux pas que les pages prennent fin. Que ce soit les miennes où celle des autres. Je veux la suite de ces histoires, car ils vivents en elle et en eux MOI je vis...

26 novembre 2009

Des étoiles dans les yeux

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Parfois je me demande quel monde nous laisserons à nos enfants. Et à nos petits enfant. Parfois je me demande qu'est-ce que je pourrais répondre à mes propres enfants quand ils verronts la souffrance qui nous entoure et qui chaque jour deviens plus omniprésente.

Parfois j'aimerais tout effacer. Comme si tout ça n'était qu'un dessin grossier dessiner sur un sol de béton à la craie blanche. Parfois j'ai l'impression que ce sont nos larmes qui dilue ce dessin, comme une aquarelle sous un jour de pluie...

Et parfois, quand je regarde le ciel, qu'il soit aussi bleu que l'azur, ou qu'il soit une étendu étoilé sans début ni fin, je me sens toute petite. Toute insignifiante. Et pourtant quand je baisse de nouveau les yeux sur le monde, j'ai encore des étoiles dans les yeux et j'arrive à croire que même dans toute son imperfection il puisse exister sur cette terre une magnifique aquarelle protéger de la pluie et que je n'aurais pas encore découvert...

Une petite aquarelle au couleurs pastel...

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23 novembre 2009

Were is the love?

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Mais où est donc partie l'amour? Je veux dire, où il est ce grand amour dont on nous rabache les oreilles depuis des années? C'est drôle j'ai beau le chercher mais je ne le trouve pas. Il y a tellement de couple qui se creer et se sépare. Tellement de gens qui se promettent l'amour éternelle et se détruisent pas la suite. Alors dites moi où est passé l'amour. Où est passé ce sentiment infini dont on nous parle dans les films, les chansons ou dans les livres. Qui aujourd'hui est près à ce sacrifier par amour? Qui aujourd'hui peut parcourir la moitié du monde pour son "âme soeur". Je suis triste. Je suis triste de voir que de nos jours l'Amour est devenu un mythe e t plus une réalité.

Une fois au moins j'amerais pouvoir ressentir ce sentiment. Une fois au moins j'aimerais le connaitre...

Mais pour le moment, j'en suis encore à ce point: where is the love?

22 novembre 2009

Rêve et mémoire

dreamy_world_top                  Il y a peu de temps, j’ai repensée au lycée, à ce qui faisait ma vie il y avait à peine un ans encore. J’ai repensée à toute ses petites choses que je trouvais primordiale, à tout ses rêves et à mon but. A cet époque je ne pensais qu’à une chose: avoir mon bac et enfin pouvoir m’affranchir de ma famille. Pas que je ne les aimait plus, mais j’avais simplement soif d’une indépendance qu’ils ne pouvaient pas me donner. Maintenant, un an à passé. J’ai eu mon bac et je suis entré à l’université. Et beaucoup de mes illusions ont disparue. Ce que je croyais primordial est devenue secondaire. Me voilà donc toujours chez mes parents. Toujours auprès de ma famille et même si souvent je rêve de liberté je ne crois pas rechercher viscéralement l’indépendance comme cela pouvait être le cas à l’époque du lycée. Epoque où j’idéalisais tellement de chose. L’université et ce qu’elle pouvait m’apporter. L’amour. La vie adulte. Je me rappel. J’avais 16 ans, je venais d’entré au lycée. Je rêvais d’amour et de vie trépidante. Comme dans ses séries américaines pour adolescent. Je criais haut et fort que j’étais une adulte et que j’avais tout compris à la vie. Quel idiote je pouvais être à cette époque. En fait j’étais encore une petite fille. Et il m’a fallu être complètement responsable de mes études sans aide pour en prendre conscience. Même aujourd’hui, je suis encore une enfant par certain aspect. Mais je me targuerait quand même d’être plus mûre: au moins ais-je pris conscience de mon ignorance et de mon manque de sagesse. J’ai donc encore tellement à apprendre. Encore tellement à accomplir. Et comme me disais-une très bonne amie, notre vie est fait de petite boite. Chaque époque de notre existence en est une. Nous avons refermer la boite du lycée, trois années de nos vies et venons d’ouvrir celle de la fac. Je ne sais pas où me mènera le futur, je ne sais pas si je pourrais réaliser tout mes rêves… Mais au moins puis-je tenter de profiter de l’instant et de chaque petit bonheur que m’accorde cette vie. Et même si nous sommes prédestinez à disparaitre un jour, laisser ma trace sur cette terre et accomplir quelque chose de bien. C’est mon souhait.

C’est mon rêve…

31 octobre 2009

Sora. Sky. Ciel. Milles mots pour un espoir

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Souvent j'aime m'arrêter et observer le ciel. Ne plus penser, ne plus rien dire. Juste sentir mon coeur battre dans ma poitrine et laisser mon esprit s'évader loin, trés loin, dans cette immensité azuré...

Pour moi le ciel a toujours représenté l'espoir. L'espoir qu'un avenir meilleur nous attend quelque part. Le ciel me rappel tout les jours que l'on ne doit pas abandonner. Si lui est toujours là, couvre chef immuable qui nous protège de l'immensité sans fin de l'espace, alors tout ira bien. Alors, même si nous souffrons, même si notre vie semble s'évaporer entre nos doigts, il y a toujours un espoir. Car si le soleil se couche, il se lèvera encore à l'aube prochaine.

Le ciel est mon espoir. Il m'aide à continuer d'avancer...

Et vous? Qu'est ce qui vous donne la force de vous battre, même dans l'adversité?

24 septembre 2009

Le mystère du papillon

papillon

« Le papillon fit un rêve. En rêvant il est devenu Tchouang-tseu en train de regarder les fleurs. Les fleurs étaient vraiment nombreuses. Il faisait bon. Il était terriblement heureux. A ce moment Tchouang-tseu se réveilla. Il ne savait pas si le Tchouang-tseu de maintenant était le vrai Tchouang-tseu ou le Tchouang-tseu qu'avait rêvé le papillon. Il ne savait pas non plus si Tchouang-tseu avait rêvé du papillon ou si le papillon avait rêvé de Tchouang-tseu. »

Tsong-tseu


Voilà une phrase qui m'a toujours fait beaucoup réfléchir. Je l'avoue le matérialisme de Descarte n'a jamais été ma tasse de thé. Dire qu'une pensée est un atome me laisse perplexe. Je sais je sais, ce ne serait qu'une impulsion électrique dans notre petit cerveaux mais sincérement je ne vois pas comment on peut expliquer quelque chose d'aussi indistinct que la conscience. Enfin, c'est mon avis et je l'avoue je n'aime pas réduire le monde à ce que l'on peut voir et toucher.


Pour revenir ce rêve qu'à fait un jour Tsong-tseu, je me pose souvent cette question, est-ce que ma vie est réelle? N'est-ce pas un immense rêve qui tourne parfois au cauchemard. Une réalité à la Matrix, une vérité caché que je devrais découvrir. Oui souvent cette idée folle me traverse mais pourtant je dois l'avouer je crois que c'est en fait le rêve que fait tout homme. La possibilité de s'échapper de sa réalité, d'échapper aussi à toute les responsabilités de ses actes. Une sorte d'hutopie. Voilà ce que ce rêve représente pour moi même s'il peut faire peur, même s'il voudrait dire que je n'existe pas réellement. Non, j'existerais d'une autre manière dans un monde je l'espère meilleur que celui dans lequel j'existe...


Et pour finir je ne dirais qu'une chose: à choisir je préfèrerais être le papillon qui rêve de lyohranel que lyohranelqui rêvant du papillon.


Et vous que vous inspire cette phrase?

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